La secte Moon conteste sa dissolution : un appel déposé auprès de la justice japonaise
Deux semaines après la décision du tribunal de Tokyo de dissoudre la secte Moon, fondée dans les années 1950 par Sun Myung Moon, les membres directeurs de la secte ont décidé de contester cette décision en déposant un appel auprès de la justice japonaise. Cette décision intervient dans un contexte de débats houleux autour des activités de la secte, accusée de pratiques abusives et de manipulation mentale. Les partisans de la secte affirment que la décision de dissolution est injustifiée et portera atteinte à la liberté de culte. Les opposants, en revanche, estiment que cette décision est nécessaire pour protéger les droits des anciens membres et des victimes présumées. Le mouvement Moon, également connu sous le nom d'Église de l'unification, a été fondé en Corée du Sud dans les années 1950 et s'est implanté au Japon dans les décennies suivantes. Les autorités japonaises ont récemment pris des mesures pour réguler les activités des sectes et protéger les citoyens contre les dérives sectaires. Les prochaines étapes de cette affaire seront attentivement suivies, notamment en ce qui concerne les implications pour la liberté de culte et la protection des droits de l'homme. Les mots-clés associés à cette affaire sont : secte, dissolution, justice, Japon, liberté de culte.