La fin de vie, un choix personnel : contre le moralisme d'État
La démocratie libérale est menacée lorsque l'État s'ingère dans nos décisions personnelles, notamment en ce qui concerne la fin de vie. Il est temps de cesser de réglementer cette étape de la vie comme une affaire publique et de respecter la liberté individuelle. Le débat sur l'euthanasie et le suicide assisté soulève des questions éthiques et morales complexes, mais il est essentiel de trouver un équilibre entre la compassion et la protection de la vie. Les citoyens ont le droit de faire des choix éclairés concernant leur propre vie et leur propre mort, sans l'ingérence de l'État. Il est nécessaire de promouvoir une approche plus humaine et plus respectueuse de l'autonomie individuelle, tout en garantissant une prise en charge palliative de qualité et un accompagnement des personnes en fin de vie. Les enjeux de la fin de vie sont personnels, émotionnels et philosophiques, et il est essentiel de les aborder avec empathie et compréhension.
